« Donnez moi sur la branche un oiseau à aimer et l’arbre grandira. »
(Georges Haldas, 1917-2010, écrivain et poète suisse ; La Blessure essentielle, 1990)
« …Ce jardin n’était plus un jardin, c’était une broussaille colossale, c’est-à-dire quelque chose qui est impénétrable comme une forêt, peuplé comme une ville, frissonnant comme un nid, sombre comme une
« …Et ce divin laurier des âmes exilées
Vermeil comme le pur orteil du séraphin
Qui rougit la pudeur des aurores foulées… »
(Stéphane Mallarmé, 1842–1898, poète français ; Les fleurs,
« La forêt est un organisme d’une gentillesse et d’une générosité sans limites, qui ne demande rien pour sa propre subsistance, mais qui nous offre tout ce que la vie permet
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OkNonPolitique de confidentialité