
« Sur la bruyère longue infiniment,
Voici le vent cornant novembre ;
Sur la bruyère infiniment,
Voici le vent
Qui se déchire et se démembre.
En souffle lourds battant les bourgs,
Voici le vent,
Le vent sauvage de novembre. »
(Émile Adolphe Gustave Verhaeren, poète belge ; Les Villages illusoires, 1895)
