« Les haies ici étaient faites d’aubépine ou de charme, je crois, petites feuilles gaufrées ou plutôt tuyautées comme on dit en terme de repassage (ou peut-être plissé-soleil), comme une collerette de chaque côté de la nervure centrale.»
(Claude Simon, 1913-2005, écrivain français ; La Route des Flandres, 1960)