« La pleine campagne remontait ensuite d’un mouvement monotone, jusqu’à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi, vu d’en haut, le paysage tout entier avait l’air immobile comme une peinture… »
(Gustave Flaubert (1821 – 1880) Madame Bovary, 1867)
« Pour connaître la rose, quelqu’un emploie la géométrie et un autre emploie le papillon. » (Paul Claudel, 1868 – 1955, dramaturge et poète français ; L’oiseau noir dans le soleil levant, 1927)
« Ah ! Les p’tits pois, les p’tits pois, les p’tits pois C’est un légume bien tendre Ah ! Les p’tits pois, les p’tits pois, les p’tits pois Ça n’ se mange pas avec les doigts ! » (Chanson populaire – Chantée par Dranem en 1904)
« Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets ». (Harry Bernard, 1898-1979, écrivain québecquois ; Dolorès, 1932)