« Le jardin-du-haut commandait un jardin-du-bas, potager resserré et chaud, consacré à l’aubergine et au piment, où l’odeur du feuillage de la tomate se mêlait en juillet au parfum de l’abricot mûri sur espaliers. »
(Sidonie Gabrielle Colette, 1873-1954, femme de lettres française ; La Maison de Claudine, 1922)
« Quand vous devenez pessimiste, regardez une rose. »
(Albert Samain, 1858-1900)
« Un papillon blanc qui voltige Un coup d’œil au hasard jeté, Vous fait surprendre sur sa tige La fleur dans sa simplicité ».
(Théophile Gautier, 1811-1872 – Émaux et Camées, Camélia et pâquerette, 1852)
« La pleine campagne remontait ensuite d’un mouvement monotone, jusqu’à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi, vu d’en haut, le paysage tout entier avait l’air immobile comme une peinture… »
(Gustave Flaubert (1821 – 1880) Madame Bovary, 1867)