(22 juillet). À la Sainte Madeleine, la noix est pleine, la noisette bonne à manger, le raisin formé, le blé au grenier, la
« Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets ». (Harry Bernard, 1898-1979, écrivain québecquois ;
(21 juillet)
À la Sainte Victorine, une taille courte pour Zéphirine.
(20 juillet). À la Sainte Marguerite sont en fleurs les marguerites.
« Entre un savant et un poète, il y a autant de différence qu’entre un jardin botanique et une forêt. » (Victor Hugo, 1802-1885, écrivain
« Le meilleur art paysager est vaste et généreux, interactif, réceptif, sensuel, saisonnier, même éphémère, même spirituel ! » (Martha Kingsbury, née en 1941, paysagiste américaine.
(19 juillet) Au matin de la Saint Arsène, on récolte la marjolaine.
(18 juillet) Rosier taché à la Saint Frédéric, doit déguster une bouillie cuprique.
« Notre terre natale n’est pas toujours le pays où l’on naît, mais le jardin où l’on a joué enfant. » (Michel Lis, 1937-2015, journaliste
« Les digitales en fleurs s’élancent partout comme de longues fusées roses au-dessus de l’amas léger et infini des fougères. »
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