Faut-il éliminer le lierre lorsqu’il monte le long de la maison et peut-il tuer un arbre lorsqu’il l’envahit ? [caption id="attachment_282" align="alignleft" width="205"] Lierre sur un vieux mur. ©MAP/Arnaud Descat[/caption] Je commencerai par citer le grand architecte Français,
[caption id="attachment_3088" align="alignleft" width="205"] Lierre commun panaché. ©MAP/Mioulane[/caption] Même si vous n’êtes pas jardinier, il serait étonnant que vous ignoriez le mot lierre. Pour le commun des mortels, c’est une plante grimpante ou couvre-sol des sous-bois
Pinus montezumae ‘Sheffield Park‘ sera présenté pour la première fois en France lors des premières journées de Courson à Chantilly (du 15 au 17 mai prochain). Ce cultivar de pin du Mexique mis en culture
« À un piment ajoutez des ailes : une libellule rouge ! » (Matsuo Bashô, Haï-Kaï – dix-septième siècle) [caption id="attachment_3083" align="alignnone" width=""]Sympetrum coccineum. ©Nemo[/caption]
(08 mai) À la Saint Désiré, tes allées tu peux empierrer. [caption id="attachment_3081" align="alignnone" width=""]Paysagiste Anoushka Failer. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
• Aérer la serre et la véranda, mais sans provoquer de courants d’air • Apporter un engrais complet dans le potager • Arroser les plantes de la maison et les plantes en pots (y compris les bonsaïs)
En ce moment de nouvelles feuilles apparaissent sur mon fusain doré (en pot sur le balcon) mais les anciennes tombent et il se dégarnit de la base. De plus, il porte des petits amas blancs,
« Votre jardin est votre espace intermédiaire entre le matériel et l’immatériel, le profane et le sacré, le visible et l’invisible. » (Erik Pigani. Le jardin philosophe, 2008) [caption id="attachment_3058" align="alignnone" width=""]Le jardin secret de Nicole et
(06 mai). À la Sainte Prudence, de fleurs décore ta résidence. [caption id="attachment_3056" align="alignnone" width=""]Jardinière de bégonia tubéreux et Sutera. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
• 5 mai 1780 : naissance à Naples de Michele Tenore, botaniste italien mort le 19 juillet 1861 dans la même ville. Il est l'auteur de la Flore napolitaine, un ouvrage monumental publié en plusieurs volumes entre 1810 et 1838.