
« …Il est sur ma montagne une épaisse bruyère
Où les pas du chasseur ont peine à se plonger,
Qui plus haut que nos fronts lève sa tête altière,
Et garde dans la nuit le pâtre et l’étranger… »
(Alfred de Vigny, 1797-1863, poète français ; La Maison du berger, 1844)

De jolies ondulations de bruyères dans le jardin François (Perche). ©N. & P. Mioulane / NewsJardinTV – Jardimiou