« En haut du balcon, pour calmer la tempête, des arbustes aux mille bras jouent aux marionnettes. »
(Anonyme)
« Ce bouquet de bambous qui fait dans la plaine comme un îlot de plumes »
(Louis-Marie Julien Viaud dit Pierre Loti, 1850-1923 ; Pêcheur d’Islande, 1886)
« La botanique qu’on nous apprend est peut-être une science inventée exprès pour exercer l’esprit des écoliers ? Qui sait si le latin même n’est pas une grande supercherie pédagogique ? »
(Valéry Larbaud, 1881-1957 ; écrivain français ; Enfantines, Devoirs de vacances, 1918)
« Prends la bourrache, Mais ne l’arrache. Des maux de cœur guérit sa fleur. »
(Anonyme)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 15 MARS
« La mort du jardinier n'est rien qui lèse un arbre. Mais si tu menaces l'arbre, alors meurt deux fois le jardinier. »
(Antoine de Saint-Exupéry, 1900-1944, aviateur, écrivain et poète français ; Le Petit Prince, 1943)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 14 MARS
« Entre la branche et la racine, il y a eu le temps ».
(Proverbe chinois)
LA CITATION JARDINIERE DU 13 MARS
« Aucun homme au monde ne se sent autant un homme que lorsqu’il possède un bout de terrain. Même s’il est minuscule en surface, ce lopin de terre aura toujours 6 360 km de profondeur ; ce qui en fait une jolie propriété. »
(Charles Dudley Warner, 1829-1900, écrivain américain)
LA CITATION JARDINIERE DU 12 MARS
« La terre, telle que les tranchées que nous suivons en montrent les couches, est d’abord un mince humus noir comme du charbon, puis du sable jaune, et enfin de l’argile rouge de soufre ou de cinabre ».
(Paul Claudel, 1868-1955, poète et dramaturge français ; Connaissance de l’Est, 1907)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 11 MARS
« Dans la nature, la ligne droite n’est pas toujours le plus court chemin pour arriver au paradis, mot qui je vais le rappeler signifie en vieux persan : « jardin clos de murs où coule une rivière ».
(Michel Lis, 1937-2015, journaliste jardinier ; Réflexions jardinières, Officiel Jardin-Motoculture, février 2010)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 10 MARS
« Il y a de grands plumages jaunes qui balaient l’azur, les mimosas d’où pleut le pollen et le parfum… »
(Sidonie Gabrielle Colette, 1873-1954, femme de lettres française ; Prisons et paradis)