« On n’éduque pas les enfants comme on remplit un vase, mais comme on allume un feu ». (Michel de Montaigne. 1533-1592) [caption id="attachment_5028" align="alignnone" width=""]L’éveil

(31 janvier). À la Sainte Marcelle, camélia qui chancelle a besoin d’eau qui ruisselle. [caption id="attachment_5026" align="alignnone" width=""]Camellia ‘Contessa Lavinia Maggi’. ©www.map-photos.com –

« Non contente de s’immiscer en secret dans les manigances du désir, la flore s’amuse aux suggestions osées. Tout un satiricon végétal mène une infatigable

(30 janvier). À la Sainte Martine, on se régale de clémentines. [caption id="attachment_5022" align="alignnone" width=""]Citrus clementina. ©www.map-photos.com[/caption]

« L’homme est un animal qui lève les yeux au ciel et qui ne voit que les araignées au plafond ». (Jules Renard. 1864-1910. Journal 1893

(29 janvier). Jardinier qui a de l’audace, sème ses géraniums à Saint Gildas. [caption id="attachment_5018" align="alignnone" width=""]Pelargonium ‘Starburst Red’. ©www.map-photos.com – N. &

[caption id="attachment_4954" align="alignleft" width="205"] La perce-neige, fleur bien nommée. ©Flora[/caption] Cette mignonne plante bulbeuse à floraison hivernale que l’on nomme parfois « goutte de lait » et

« Rien dans ce jardin ne contrariait l’effort sacré des choses de la vie ; la croissance vénérable était là chez elle ». (Victor Hugo. 1802-1885. Les

(28 janvier). À la Saint Thomas, les jours tombés au plus bas vont demain grandir d’un pas. [caption id="attachment_5014" align="alignnone" width=""]Le 28 janvier

« Le jardin est devenu une pièce à vivre, un lieu-ressource où l’on s’ancre avec le réel, à l’heure de la société de consommation