(15 avril). À la Sainte Anastasia, nourris ton Kentia. [caption id="attachment_5655" align="alignnone" width=""]Howea forsteriana, le kentia, palier d’intérieur. ©Flora[/caption]

« Sur le bord d’un chemin poudreux, je rencontre une plante dont la fleur à la fois éclatante et sombre semble faite pour s’associer aux

« C'est d'âme qu'il faut changer, non de climat. » (Lucius Annaeus Seneca dit Sénèque, 1er siècle. Lettres à Lucilius, 65) [caption id="attachment_5649" align="alignnone" width=""]L'homme bouleverse

(13 avril) Réveille tes sens à Sainte Ida, avec l’Asa foetida.  [caption id="attachment_5647" align="alignnone" width=""]Ferula asafoetida, le fenouil géant, est une plante réputée

« J’ai pour jardinier la pluie,L’ouragan pour émondeur :Je suis grand sous Dieu ; j’essuieMa cime à la profondeur. » (Victor Hugo, 1802-1885. Les chansons des rues et

(12 avril). À la Saint Jules, chasse les iules et les forficules s’ils pullulent. [caption id="attachment_5643" align="alignnone" width=""]Forficula auricularia, le perce-oreilles. ©Faune[/caption]

« On a besoin d’accrocher sa charrue aux étoiles ». (Ralph Waldo Emerson, 1803-1882, philosophe et poète américain) [caption id="attachment_5593" align="alignnone" width=""]Le jardin sous un ciel

 (10 avril) À la Saint Térence, pointe la garance. [caption id="attachment_5591" align="alignnone" width=""]Rubia tinctorum, la garance des teinturiers. ©Flora[/caption]

« Les câpres sont bonnes à cause qu’elles aiguisent l’appétit et désopilent ; elles doivent être bien dessalées. » (Ambroise Paré, 1510-1590, chirurgien et anatomiste français) [caption

(09 avril) À la Saint Gaucher finit de fleurir le pêcher. [caption id="attachment_5587" align="alignnone" width=""]La fleur délicate de Prunus persica. ©Flora[/caption]