
« C’était le jardin qui avait voulu faire la faute. Pendant des semaines, il s’était préparé au lent apprentissage de leur tendresse. Puis au dernier jour, il venait de les conduire dans l’alcôve verte. Maintenant il était le tentateur de toutes les voix qui enseignaient l’amour. »
(Émile Zola, 1840-1902, écrivain français ; La faute de l’abbé Mouret, 1875)

Un espace d’intimité coquine dans un petit jardin. ©N. & P. Mioulane / NewsJardinTV – Jardimiou