
« La voilà donc, enfin ! Je la tiens cette plante,
Que le divin Linné n’observa pas vivante !
Ô pétales caducs, stigmate fugitif,
Vous n’échapperez point à mon œil attentif ;
Vos merveilles pour moi n’auront plus de mystères !
Je t’adore ô pistil ! je vous salue, anthères… »
(Emmanuel Le Maout, 1799-1877, naturaliste et botaniste français ; lettre à Adrien de Jussieu, 1882)

Les organes fertiles de la fleur du lis asiatique Lilium longiflorum ‘White Heaven’. ©N. & P. Mioulane / NewsJardinTV – Jardimiou