
« Elle aimait la regarder couler, rivière de plaine entre ses peupliers et ses saules, miroir presque toujours étale où se doublaient jusqu’en leurs moindres nuances les couleurs et les remous du ciel ».
(Maurice Genevoix, 1880-1980, romancier-poète français ; La Forêt perdue, 1967)

Saule pleureur au bord d’une rivière. ©Frédy