
« L’acide benzoïque que le fruit de la vanille renferme, est en quantité quelquefois si considérable, que cette substance s’effleurit à la surface des gousses et les blanchit, ce qui forme la vanille givrée du commerce, la plus estimée de toutes. »
(Journal officiel 26 juin 1874, p. 4369, 3e col.)
