« Le liseron s’appelle maintenant Pharbitis ! Jamais je ne sèmerai des Pharbitis dans mon jardin. J’ai fait autrefois des vers sur certains liserons qui grimpaient auprès d’une haie d’un jardin où j’avais vingt ans : faites-donc des vers sur les Pharbitis ! »
(Alphonse Karr, 1808-1890, romancier et journaliste français ; Le Carnaval ds fleurs, 1864)
« De la solitaire demeure Une ombre lourde d’heure en heure Se détache sur le gazon ; Et cette ombre, couchée et morte, Est la seule chose qui sorte Tout le jour de cette maison ! »
(Alphonse de Lamartine, 1790-1869, poète français ; Recueillements poétiques, 1839)
« Face à la dignité et à la beauté des plantes, l’animal apparaît comme un être attachant, mais transitoire, naïf, glouton et terriblement gaspilleur. »
(Francis Hallé, né en 1938, botaniste et dendrologue français ; Éloge de la plante, 1999)
« Sur un même arbre ne poussent jamais deux sortes de fleurs. »
(Proverbe chinois)