« Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire. Être « de quelque chose », ça pose un homme comme être « de Garenne », ça pose un

(19 janvier). Jamais n’arrose tes cactus à la Saint Marius. [caption id="attachment_4893" align="alignnone" width=""]Echinocactus grusonii. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]

« Il y a plus de larmes versées sur la terre qu’il n’y a d’eau dans l’océan ». (Bouddha) [caption id="attachment_4891" align="alignnone" width=""]Des larmes de rosée

(18 janvier). À Saint Pierre, coq chantant est présage de mauvais temps. (Allusion à l’épisode biblique où saint Pierre renia trois fois le

« Les insectes constituent un maillon clé de la chaîne du vivant. Tuer un insecte revient à tuer le jardinier aussi. » (Gilles Clément, jardinier écologue

(17 janvier). À la Saint Antoine, les jours grandissent d’un pas de moine. [caption id="attachment_4885" align="alignnone" width=""]Petit à petit, les apparitions du soleil

« Tout ce qui se trouvait de douceur dans la plante se concentrait dans le fruit, rendant ainsi naturellement le reste acerbe et rude. » (Plutarque,

(16 janvier). Bégonia semé à Saint Marcel, dès fin mai nous ensorcelle.  [caption id="attachment_4881" align="alignnone" width=""]Begonia semperflorens ‘Flamboyant’. ©www.map-photos.com – N. & P.

« N'allez jamais chez un médecin dont les plantes de la salle d'attente sont mortes. » (Erma Bombeck, humoriste américaine. 1927-1996) [caption id="attachment_4879" align="alignnone" width=""]©Flora[/caption]

(15 janvier). À la Saint Rémi passe le compost à la trémie. [caption id="attachment_4877" align="alignnone" width=""]Pour assurer une bonne qualité agronomique, le compost