« Et rien n’est plus miraculeux qu’un grand jardin
Qui se réveille autour de nous chaque matin,
En entrouvrant ses fleurs, en étirant ses brises,
Un jardin, c’est
« Le liseron s’appelle maintenant Pharbitis ! Jamais je ne sèmerai des Pharbitis dans mon jardin. J’ai fait autrefois des vers sur certains liserons qui grimpaient auprès d’une haie d’un jardin
« Face à la dignité et à la beauté des plantes, l’animal apparaît comme un être attachant, mais transitoire, naïf, glouton et terriblement gaspilleur. »
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