(17 août).
Au vent de Saint Hyacinthe, parfume l’absinthe.
« Les pois de senteur semblant descendre du ciel à la suite des reflets du soleil en se laissant glisser le long du treillage par le mur du jardin, semblaient
(16 août).
À la Sainte Armelle, la salade se parfume de pimprenelle.
(15 août).
À la mi-août, l’hiver se noue. (l’été est déjà sur le départ et on dit que la tendance de l’hiver se dessine déjà.)
« Un petit pont de bois couvert de vernis rouge, Écho du soleil rouge qui traverse le ciel. Un petit pont de bois entre
(14 août).
Saint Évrard pleurard, c’est bon pour l’épinard.
« Le champ de blé met sa cocarde Coquelicot. Voici l'été, le temps me tarde De voir l'arc-en-ciel refleurir. <span style="font-family: Arial;
(13 août). À la Sainte Radegonde, dans le jardin les orties vagabondent.
« La campagne, c’est cette musique, cette agitation de branches, de feuilles et de cris, qui s’enfle et s’architecture quand on ferme les yeux ». (Maryline Desbiolles, née en 1959, écrivaine française. Anchise, 1999)
« Le criquet tient dans la main, mais on l’entend dans toute la prairie » (Proverbe sénégalais)