« C’était un petit jardin Qui sentait bon le métropolitain, Qui sentait bon le bassin parisien. C’était un petit jardin Avec une table et une chaise de jardin Avec deux arbres, un pommier et un sapin Au fond d’une cour
(31 août).
C’est à la Saint Aristide, que l’on taille la rue fétide.
« Ma mère me mène au jardin Dans la lumière qui commence Voir les fleurs s'ouvrir au matin Lorsque les branches balancent Mille fleurs disent mille contes <span style="color:
(30 août). À la Saint Fiacre, bon jardinier dans sa journée laboure tout un acre.
(29 août) Plante un jasmin à la Sainte Sabrina, il se couvrira d’or à Sainte Angelina (27 janvier)
« C’était bien le jardin perdu, ou tout le moins une parcelle de ses fabuleux délices échappée par miracle à la déchéance du monde. » (Henri Bosco, 1888-1976, romancier français ; Un Rameau de la nuit, 1950)
(28 août). À la Saint Augustin, on jardine plutôt de bon matin.
« L’essence même d’un jardin naturel est l’apparente liberté des plantes à former un tableau… où les principes de plantation peuvent se relâcher pour donner un sentiment d’imprévu. » (Penelope Hobbhouse, née en 1929, Jardinière et
« Qu’est-ce que vos yeux pourraient désirer voir, votre nez sentir ou votre bouche goûter qui ne serait dans un verger ? » (William Lawson, 1875-1957, poète australien)
(27 août). Ami, sarcle ton jardin à Sainte Monique, sinon l’adventice sera hégémonique.