(06 Juillet)
À la Sainte Marie-Rose, fleurit la passe-rose.
« …Les araignées des jardins, à cause des nuits plus fraîches, rentraient le soir dans la resserre aux jouets et s’y rangeaient sagement au plafond. »
(Sidonie Gabrielle Colette, 1873-1954,femme de lettres
« Dans la touffeur lourde d’un soir de canicule, Une brise diaphane souffle une liquoreuse fragrance. Une rose lascive embaume un zéphyr noctambule, <span
(05 juillet).
À la Saint Antoine-Marie, fleurit la capucine des canaris (Tropaeolum peregrinum)
« Grâces soient rendues aux abeilles de l’Hymette, colline près d’Athènes, qui butinèrent le premier thym, qui selon la légende serait né d’une goutte de lait tombée du sein
(04 juillet).
À la Saint Florent, le chèvrefeuille est odorant.
« Imaginer de loin, qu’un bignonier sonne ici de toutes ses trompettes rouges, la gloire de la canicule et le retrouver, tel que je l’exigeais, furibond de fleurs… ainsi
(03 juillet)
À la Saint Thomas la bignone fleurit sur le mât.
« Ce n’est pas la touffe frisée du persil qui excite les hommes, mais bien ses vertus stimulantes. » (Jean-Paul Pigeat, 1946-2005, créateur du Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire ; L’Érotisme au jardin, 2003)
(02 juillet)
À la Saint Bernardin, chacun profite de son jardin.