« Le jardin-du-haut commandait un jardin-du-bas, potager resserré et chaud, consacré à l’aubergine et au piment, où l’odeur du feuillage de la tomate se mêlait en juillet au parfum de l’abricot mûri
« La pleine campagne remontait ensuite d’un mouvement monotone, jusqu’à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi, vu d’en haut, le paysage tout entier avait l’air immobile
« Pour connaître la rose, quelqu’un emploie la géométrie et un autre emploie le papillon. »
(Paul Claudel, 1868 – 1955, dramaturge et poète français ; L’oiseau noir dans le soleil levant, 1927)
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