« L’été, ces deux bouleaux qui se font vis à vis,
Avec ce délicat et mystique feuillage
D’un vert si vaporeux sur un si fin branchage,
Ont l’air extasié
« Contre les inconstances d’un climat dont il n’a pas fini de s’étonner, l’homme dresse des palis, plante les cyprès en murailles, les faux bambous en lances et aménage ses enclos, épanouis
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