« Même si le jardinier se montre « écologiquement incorrect », il demeure le garant de l’avenir de la nature car il connaît l’âme des plantes ou tout du moins ce qu’elles veulent bien lui confier ». (Patrick Mioulane,
(17 novembre) À la Sainte Élisabeth, l’automne fait la courbette ; s’il joue à l’hiver, il nous embête. [caption id="attachment_11357" align="alignnone" width=""]La première neige arrive parfois dès la mi-novembre. Ici sur le feuillage décoloré d’un x
« Depuis trois ans il plantait des arbres dans cette solitude. Il en avait planté cent mille. Sur les cent mille, vingt mille était sortis. Sur ces vingt mille, il comptait encore en perdre la moitié,
« C’est dans le jardin que l’humanité apprend la différence entre la nature sauvage, qui peut lui être hostile, et la nature maîtrisée, qui peut l’aider se dépasser et qui constitue véritablement une œuvre d’art. » (Jacques
« Une forêt pour toi, c’est un monde hideux.Le songe et le réel s’y mêlent tous les deuxLà se penchent rêveurs, les vieux pins, les grands ormesDont les rameaux tordus font cent coudes difformes,Et dans ce
« L’extinction des infrastructures écologiques comme les haies, les arbres les chemins enherbés, les friches, les landes, entraîne simultanément une disparition de refuges potentiels pour les ennemis des ravageurs. » (Julie Mailloux, Ingénieure agronome française, spécialiste des