« Nénuphars blancs, ô lys des eaux limpides,Neige montant du fond de leur azur,Qui sommeillant sur vos tiges humides,Avez besoin, pour dormir, d’un lit pur ;Fleurs de pudeur, oui ! Vous êtes trop fièresPour vous laisser cueillir… et
(29 septembre) Entre Saint-Michel et Saint-François (4 octobre), prends ta vendange telle qu’'elle est ; à Saint-Denis (9 octobre), prends-la encore si elle y est. [caption id="attachment_11206" align="alignnone" width=""]Il est grand temps de récolter les
« On donne des nèfles à ceux qui ont le flux de ventre. Leur décoction arrête les fluxions qui tombent sur la gorge, sur le gosier, sur les dents, sur les gencives, si on s’en
(28 septembre) À la Saint Venceslas, on arrache toutes les traînasses (c’est ainsi que l’on désigne dans certaines régions les mauvaises herbes rampantes) [caption id="attachment_11202" align="alignnone" width=""]Ne laissez pas envahir votre potager (ici un semis
« La nature est un temple où de vivants piliersLaissent parfois sortir de confuses paroles ;L’homme y passe à travers des forêts de symbolesQui observent avec des regards familiers. » (Charles Baudelaire, 1821-1867, poète français ; Les Fleurs du
(27 septembre) Passé Saint Vincenzo, le jardinier peut planter les aulx. [caption id="attachment_11198" align="alignnone" width=""]Plantez les caïeux d’ail tous les 10 cm dans un sol bien drainé ne contenant pas de matière organique non décomposée.
« Loin, bien loin, de l’autre côté de l’équateur,Tout au sud, décorant le menton de l’Afrique,Des millions de corolles font un tapis magique,Étoiles multicolores et le désert devient fleur. » (Patrick Mioulane, né en 1951, journaliste-botaniste français ;
(26 septembre) À la Saint-Côme et Saint-Damien, on trouve des noix plein les chemins. [caption id="attachment_11194" align="alignnone" width=""]Les noix (Juglans regia) parviennent à maturité en ce moment. © Friedrich Böhringer[/caption]
« Et si je connais, moi, une fleur unique au monde, qui n’existe nulle part, sauf dans ma planète, et qu’un petit mouton peut anéantir d’un seul coup, comme ça, un matin, sans se rendre compte
(25 septembre) À la Sainte Solène s’endorment les phalènes. [caption id="attachment_11190" align="alignnone" width=""]La phalène du bouleau (Biston betularia) est un papillon très mimétique dont les chenilles se nourrissent des feuilles de l’arbre. © Jerzy Strzelecki[/caption]