« L’astre vermeil ruisselle en sa gerbe éclatante ;
Chaque fleur, alanguie aux langueurs de l’attente,
Voluptueusement, vers le foyer du jour
Tourne sa tige et tend son avide calice,
Et boit ton charme, Aurore,
« Depuis l’origine, le destin des hommes fut associé à celui des arbres par un lien si étroit et si fort que l’on peut se demander ce qu’il adviendra d’une humanité
« Mon parc a deux rosiers dispensateurs d’arômes ;
Leurs haleines jamais ne me semblent mêlées ;
Quand les pesants midis règnent sur les allées,
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